Type de blog : Click'n 3D News

Vous le savez, chez Click’n 3D nous sommes particulièrement sensibles à la réparation par impression 3D. Mais saviez-vous que la fabrication additive pouvait également aider les vétérinaires à « réparer » nos animaux de compagnie ?

En effet, de plus en plus de vétérinaires s’intéressent à la modélisation et à l’impression 3D afin d’optimiser les résultats de leurs opérations les plus délicates.

Nous sommes donc allés à la rencontre du Dr. Bourgeois, vétérinaire spécialiste en chirurgie orthopédique et neuro-rachidienne au sein de la clinique Neovet (Perpignan), avec qui nous avons la chance de collaborer depuis plusieurs années.

On est tombé sur un os …

Jusqu’alors, les chirurgiens ne pouvaient compter que sur la radiographie traditionnelle pour préparer leurs interventions. Et pourtant, un os, c’est bel et bien un objet en trois dimensions. Évidemment, l’expérience leur permet de se projeter à partir d’une radio 2D. Mais cela laisse place à l’interprétation et éventuellement aux erreurs.

Clinique vétérinaire de référence en Occitanie, Neovet est également un véritable support technique et scientifique pour les vétérinaires de la région. Aussi, ce centre innovant bénéficie d’équipements de pointe en termes d’imagerie médicale, et plus spécifiquement de scanners. L’avantage du scanner étant bien entendu de pouvoir disposer de modélisations 3D.

Fort de ce constat, le Dr. Bourgeois en est donc venu à se demander s’il ne serait pas possible d’exploiter ces modélisations afin d’imprimer les os fracturés et ainsi mieux anticiper les opérations.

C’est ainsi qu’il s’est rapproché de nos équipes. Et les premiers essais furent concluants.

Aborder une opération délicate sous un autre angle

Une des premières missions qui nous ait été confiée fût l’impression d’un bassin fracturé. Il faut savoir que ce type de chirurgie d’implantologie est particulièrement délicat. En effet, cela demande de créer un implant (constitué d’un ensemble de plaques et de vis) parfaitement adapté au bassin de l’animal. Une erreur de quelques millimètres pouvant entrainer un déséquilibre et nuire à la pérennité de l’opération.

Aussi, en imprimant l’os abimé en amont, le chirurgien peut réaliser différents tests afin d’aboutir à l’implant parfait. Un véritable gain de temps.

Actuellement, le Dr. Bourgeois et ses équipes n’ont recourt à l’impression 3D que pour des cas très particuliers, sans pour autant majorer le coût de l’intervention (entre 1000 et 1200€). L’objectif est avant tout de permettre à l’animal de se rétablir dans les meilleures conditions possibles.

Quel avenir pour l’impression 3D vétérinaire ?

Lors de nos échanges, nous avons demandé au Dr. Bourgeois si, à l’avenir, il ne serait pas intéressant d’imprimer directement les implants en titane. Ce à quoi il nous a répondu : « Évidemment cela pourrait présenter des avantages en termes de précision. Néanmoins, les temps de modélisation/production ainsi que les coûts restent élevés pour ce type de matériau. ». Et d’ajouter « par contre, pour ce qui est de la réparation 3D de nos équipements, comme les pieds de balances, il y a sans doute des choses à faire … ». Une affaire à suivre donc.

Nous remercions le Dr. Bourgeois pour le temps qu’il nous a consacré pour la rédaction de cet article. Pour plus d’infos sur Neovet, nous vous invitons à visiter le site internet de la clinique.

Ça y est 2020 est derrière nous et toute l’équipe de Click’n 3D vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2021.

Entre confinement, déconfinement et reconfinement, cette année 2020 aura également été l’année des innovations et des nouveaux modes de consommation. Nous avons été ravis de constater qu’en cette période particulière, vous êtes de plus en plus nombreux à vouloir consommer local et à intégrer les principes de l’économie circulaire. Finalement, il y aura eu du bon en 2020.

Aussi pour commencer l’année 2021 sur une note positive, nous vous avons préparé une petite rétrospective de nos réalisations de l’année écoulée.

La réparation 3D à l’honneur…

Depuis sa création, Click’n 3D s’engage pour l’économie circulaire en permettant aux particuliers de nous confier la réalisation de pièces détachées à l’unité. Pourquoi jeter quand on peut réparer ? Le message semble être passé et le confinement en a encouragé plus d’un à se lancer dans le bricolage nouvelle génération.

Ainsi, en 2020 nous avons réalisé tous types de réparations 3D :

• De l’électroménager: boutons de centrales vapeur et de lave-vaisselle, pièces de frigos américains, de hotte de cuisine et de cafetière…
• Des pièces automobiles: pignons et boutons de lève vitre, équerres de pare-chocs et poignées de camping-car…
• Des pièces pour le nautisme: bouchons de réservoir, guide-guindeau, clips de fixation de plafond…
• Diverses pièces pour réparer des portes, des portails, des fenêtres, des moustiquaires, des serres, des piscines, des douches, des pieds de canapé…

Ces projets ont été l’occasion de proposer à nos clients particuliers des impressions 3D en PLA mais aussi en métal, en matériau souple, à l’unité et en petites séries.

De l’innovation chez nos clients professionnels…

Nos clients B2B quant à eux, n’ont pas chômé et nous ont permis de les accompagner dans l’élaboration de leurs nouveaux projets, que ce soit via de la modélisation ou de l’impression 3D :

• Fabrication de pièces sur-mesure pour un prototype de déambulateur
• Réalisation de maquettes de maisons et de lotissement
• Impression 3D de prototypes : raccords pour masques de plongée, semelles de chaussures, de médaillons pour chiens et de ceintures de fitness

Sans compter les nouveaux projets de KoA, de BassMe, BET2M, BMD et de French Kart…

Des réponses à la crise sanitaire…

Évidemment, impossible d’évoquer l’année 2020 sans parler du Covid. Dès le mois d’avril, Click’n 3D a participé à l’effort collectif en imprimant gratuitement des écrans faciaux pour le personnel soignant, avant de les proposer aux artisans, commerçants et particuliers.

Des entreprises ont également fait appel à nos services pour réaliser des accessoires renforçant la sécurité de leurs salariés : visières pour casques de chantier, poignées de portes à actionner avec l’avant-bras, clés antibactériennes…

Quoi de neuf chez Click’n 3D ?

Cette année, notre équipe a eu l’occasion de participer à des conférences et Webinars (avec nos amis de F3DF) visant à vulgariser l’impression 3D et à en anticiper ses futurs usages.

Et afin de mieux anticiper ce fameux futur, nous avons fait évoluer notre parc avec l’acquisition d’une nouvelle imprimante SLA et d’une imprimante CFF (utilisation de matériaux composites).

Mais la grande nouveauté de l’année a pris forme dès le mois de mars : et si nous proposions nos propres créations imprimées en 3D et personnalisables ! Nous avons commencé par l’élaboration de cache-câbles, puis, crise sanitaire oblige, des attaches pour masques.

Aussi, l’année 2020 se conclue avec deux bonnes nouvelles : la reconduction de notre certification ISO 9001 et l’ouverture de notre boutique en ligne de produits personnalisés sur laquelle nous ajouterons régulièrement de nouvelles références.

Nous remercions nos clients pour la confiance qu’ils nous ont accordée et espérons continuer sur notre lancée en 2021 !

Les fêtes approchent à grands pas et nous ne sommes toujours pas sûrs de pouvoir passer Noël et le jour de l’an avec nos proches. C’est en partant de ce constat que nous nous sommes dit chez Click’n 3D que cela pourrait être sympa de proposer de petits cadeaux pouvant être envoyés par la poste en attendant de pouvoir se réunir en famille.

Ainsi, nous vous proposons notre première création : les cache-câbles personnalisés imprimés en 3D.

C’est quoi un cache-câble personnalisé ?

Au travail, à l’école ou à la maison, nous nous promenons en permanence avec nos chargeurs de téléphones, d’ordis portables ou de cigarettes électroniques. Oui mais voilà, nous sommes rarement les seuls à profiter des multiprises, et combien de fois nous faisons nous chaparder nos câbles, sans mauvaises intentions bien-sûr.

C’est là que le cache-câble personnalisé intervient ! Plus de confusion possible, votre nom est clipsé sur votre précieux câble, fini les débats sans fin avec votre collègue qui vous assure que c’est bien le sien.

Comment personnaliser son cache-câble ?

Dans un premier temps, vous choisissez le texte (dans la limite de 15 caractères), ensuite votre matière.

Nous vous proposons de les imprimer soit en PLA (Amidon modifié) dans la couleur de votre choix parmi les suivantes : blanc, blanc cassé, jaune, orange, magenta, rouge, vert clair, vert foncé, bleu foncé, gris ou noir. Ou bien en matériaux biosourcés : à base de café (couleur brun) ou à base de blé (couleur crème).

Troisième étape : choisir le type de câble sur lequel doit s’adapter le cache-câble personnalisé : câble d’Iphone, Micro USB, USB Type C, ou chargeur de MacBook.

Comment commander ?

Le lot de 4 cache-câbles est proposé au tarif de 10€ TTC, frais de ports France compris. Chaque cache-câble du lot peut être personnalisé différemment.

Pour passer commande, rendez-vous sur notre boutique en ligne.

Nous espérons que vous vous portez bien et que vous gardez le moral malgré ce nouveau confinement.

Les nouvelles mesures sanitaires ont radicalement changé notre quotidien et nombreux sont ceux et celles qui commencent à ressentir des douleurs au niveau des oreilles à cause du port prolongé de leur masque.

Pour limiter au maximum cet inconfort, nous avons mis au point des systèmes d’attaches pour masques imprimées en 3D. Aussi, vous pouvez désormais nous commander des lots d’attaches personnalisées tout en faisant une bonne action.

En effet, Click’n 3D s’engage à reverser 2 euros au Secours Populaire pour chaque commande de lots d’attaches personnalisées pour masques.

Comment fonctionnent ces attaches pour masques ?

Le concept est très simple. Au lieu d’attacher les élastiques de votre masque autour de vos oreilles, vous les fixez à notre système que vous placez derrière votre tête. Ainsi, plus de pressions ou de frottements répétés à l’arrière des oreilles. Ces attaches sont ajustables pour s’adapter à toutes longueurs d’élastiques et tour de tête.

Vous avez également la possibilité, et pour le même prix, de personnaliser votre lot d’attaches pour masques. Nous pouvons y imprimer un message, le nom de votre entreprise ou un logo. Un vaste choix de couleurs est disponible pour laisser s’exprimer votre créativité.

Nous proposons nos lots de 4 attaches personnalisées pour masques au tarif de 10€ TTC (frais de port non inclus) dont 2€ seront reversés au Secours Populaire.

Chaque attache de votre lot peut être personnalisée différemment.

Pour passer commande, rendez-vous sur notre boutique en ligne.

Vous le savez, chez Click’n 3D nous aimons nouer des relations long termes avec nos clients. Développer des projets ensemble, apprendre les uns des autres, l’échange de compétences est un des moteurs de notre entreprise.

C’est pourquoi aujourd’hui nous souhaitions vous présenter un de nos derniers projets de prototypage par impression 3D avec l’entreprise KoA.

KoA en quelques mots

Fondée en 2019 par deux passionnés d’arts, KoA propose des systèmes d’accrochages, de transport et de stockage d’œuvres d’arts aux professionnels (musées, galeries d’arts, artistes, artisans) ainsi qu’aux particuliers.

Installée dans notre belle région des Pyrénées Orientales, cette entreprise propose, en plus de ses activités de négoce, de la recherche et du développement, allant jusqu’à la conception de solutions sur mesure pour ses clients les plus exigeants.

Le parcours atypique de ses fondateurs, tous deux issus de formations artistiques, est un véritable facteur différenciant pour leurs clients. En effet, leur connaissance du métier, des œuvres et des problématiques rencontrées leur permettent d’offrir un accompagnement pointu et personnalisé avec un objectif constant : mettre en valeur les œuvres sans les détériorer.

Cette qualité d’écoute et d’adaptation est au cœur de leur processus créatif, comme nous pûmes le constater tout au long de notre collaboration.

Pourquoi intégrer l’impression 3D dans un processus industriel ?

Qui dit recherche et développement, dit plans et prototypes. Premier constat : il est parfois difficile de se projeter en 3 dimensions lorsque l’on travaille sur plan. Le prototypage par impression 3D prend alors tout son sens pour se faire une première idée du projet en cours.

Détecter les défauts, affiner son projet, pouvoir manipuler sa création bien en amont de sa production en série est déjà un gain de temps. Mais ça ne s’arrête pas là.

Comme a pu nous l’expliquer la co-fondatrice de KoA, l’industrialisation demande souvent d’investir dans des outillages couteux. Or, si le prototypage se fait de façon traditionnelle, il y a de forts risques d’investir dans un outillage qui s’avérera inadapté au produit final. La précision est au micron prêt et une « petite » erreur en amont peut avoir un impact économique désastreux.

Aussi, en passant par plusieurs phases de prototypages par impression 3D, l’industriel en charge de la production est impliqué dès les premiers stades du projet. Il apporte ainsi ses conseils, sa vision et sollicite son réseau pour travailler de façon collégiale à l’optimisation de la V0.

Faire appel au savoir-faire de chacun pour participer à la création d’un produit innovant est une des valeurs phare de KoA. C’est ainsi que l’on arrive à des résultats inédits.

La petite histoire du prototypage par impression 3D de l’ensemble pontet KoA

C’est en suivant ce processus créatif que l’équipe de KoA mis au point un ensemble pontet exclusif et Made in France de surcroît. En effet, la petite entreprise met un point d’honneur à travailler avec des partenaires locaux (comme nous !) et nationaux afin de valoriser le patrimoine industriel français.

Ce système de fixation leur a bien donné du fil à retordre. L’objectif était avant tout de répondre aux besoins des musées et des galeries qui ont pour problématique à la fois l’accrochage, mais également le transport de leurs œuvres. KoA a donc élaboré un système tout-en-un permettant de réaliser les deux opérations sans avoir à percer plusieurs fois le cadre du tableau. En effet, en plus de l’accroche, qui, comble de l’ingéniosité, reste à l’horizontal en permanence, un bras amovible peut s’y fixer pour assurer sa mise en caisse lors du transport.

Lors de la R&D, qui a duré plusieurs années, un élément était particulièrement bloquant, le petit pont permettant de glisser l’anneau. Cela n’a l’air de rien, mais ce pliage demande d’investir dans un outillage spécifique. Aussi, afin d’être certain du résultat final, KoA nous a confié la réalisation d’un premier prototype en nylon.

Second frein : la patte permettant d’insérer le bras amovible. Un millimètre d’écart, et la sécurité n’est plus assurée. Résultat, nouveau prototype en nylon pour tester l’idée.

Une fois ces problèmes réglés, nous avons alors réalisé plusieurs prototypes en inox, jusqu’à obtenir LE prototype qui permit de lancer la production industrielle.

Cette nouvelle méthodologie de conception impliquant le prototypage par impression 3D a conquis l’équipe de KoA. Tant d’un point de vue économique que créatif, l’impression 3D a eu un « effet libérateur » nous a confié la co-fondatrice de la marque.

Et comme leur créativité ne connait plus de limite, nous travaillons actuellement sur de nouveaux projets avec KoA, dont l’impression 3D de petites séries. Une affaire à suivre donc …

Nous remercions Céline Angelats pour le temps qu’elle nous a consacré pour la rédaction de cet article. Retrouvez l’ensemble pontet KoA sur leur boutique en ligne.

Depuis la fin du confinement, de nombreux clients nous contactent pour des prestations de réparations par impression 3D. Il semblerait que certains se soient penchés sur la question pendant cette période particulière, et nous en sommes ravis.

En effet, cela fait déjà plusieurs années que nous luttons contre l’obsolescence programmée. Combien de fois vous êtes-vous retrouvé à racheter un appareil électroménager parce qu’une petite pièce s’est cassée et que le SAV vous annonce que la réparation coûte plus cher que l’appareil en question ?

Et pourtant des solutions alternatives existent !

Pourquoi jeter quand on peut réparer à moindre coût ?

C’est là que l’impression 3D intervient. A partir d’une pièce cassée, notre équipe est en mesure de réaliser une modélisation 3D et d’imprimer la pièce de rechange. Désormais, nous ne nous limitons plus seulement à l’impression plastique et pouvons également vous proposer des impressions en métal.

Ces réparations demandent plusieurs tests et ajustements, mais la satisfaction de pouvoir réparer un objet via cette méthode innovante est une véritable satisfaction.

Notre priorité étant d’aller dans le sens d’une économie circulaire, nous vous garantissons des tarifs adaptés pour que la réparation par impression 3D devienne un reflex.

De plus, en multipliant ces interventions, nous nourrissons notre catalogue de pièces détachées et pouvons ainsi proposer à de futurs clients rencontrant le même problème une solution clef en mains. Vous participez ainsi à ce cercle vertueux.

Aussi, n’hésitez pas à nous contacter pour réaliser vos réparations par impression 3D. Et pour ceux qui ne peuvent pas se déplacer, il suffit de nous envoyer la pièce cassée par courrier !

Depuis 2017, les équipes de Click’n 3D et de B.E.T. 2M travaillent ensemble pour concevoir les maquettes de bâtiments plus respectueux de l’environnement. Mais avant de vous expliquer notre travail avec ce partenaire de longue date, laissez-nous vous présenter B.E.T. 2M.

Bureau d’Études Thermiques Michaël Mesa ou B.E.T. 2M pour les intimes

Fondé en 2013 par Michaël Mesa, B.E.T. 2M est un bureau d’études qui accompagne les constructeurs dans l’élaboration de maisons individuelles, logements collectifs, bâtiments voire de piscines chauffées. Attestations thermiques pour les permis de construire, propositions de rénovations énergétiques, conception de maisons autonomes, ces spécialistes des énergies renouvelables sont bien décidés à réduire notre empreinte carbone.

En parallèle de cette activité, Michaël Mesa met également à contribution ses talents de dessinateur et d’architecte au travers de permis2construire.com où il élabore les plans de maisons individuelles et de lotissements aux normes RT2012.

Et l’impression 3D dans tout ça ?

Quand on sait qu’une maison prend environ 1 an à être construite, difficile de se projeter dans son futur bien à partir de plans. C’est pourquoi B.E.T 2M a fait appel à Click’n 3D.

A partir des plans au format PDF et/ou d’une modélisation au format SketchUp, nous réalisons une modélisation 3D imprimable de ces maisons.

Dans un premier temps, nous avons réalisé des impressions monochromes et monoblocs à l’échelle 1/100. Rapidement, nous avons évolué vers des réalisations plus ludiques avec un système d’étages empilables et de toit amovible permettant de voir la répartition des pièces au sein du bâtiment.

Nous sommes également passés d’impressions en plastique HIPS blanc à des impressions en PLA bio-sourcés (maïs, blé, café), ce qui nous a permis d’étendre la gamme de couleurs de nos réalisations tout en les rendant plus respectueuses de l’environnement.

Il nous faut environ 7 jours, 15 heures d’impressions et 80 mètres de filaments pour réaliser une maquette d’un étage que l’on vient enrichir de jardins et clôtures.

En proposant un package complet (plans, permis de construire, étude thermique, maitrise d’œuvre, etc.), complété d’une maquette 3D de la future réalisation, la société de Michaël Mesa a su se démarquer de ses concurrents.

Si vous aussi, vous souhaitez intégrer l’impression 3D à vos projets, n’hésitez pas à nous contacter.

Avant toutes choses, nous tenions à remercier tous ceux et celles qui nous ont laissé des messages d’encouragements et de remerciements concernant notre participation au projet Shields – visière solidaire- Covid19 – Pays Catalan dont nous parlions dans notre précédente publication.

Nous avons d’ores et déjà imprimé près de 600 écrans faciaux soit plus de 65 jours cumulés d’impression 3D afin de soutenir le personnel hospitalier. Et ce n’est pas fini.

Cette initiative a également été relayée dans les médias de notre région (L’indépendant et le Journal Catalan) et nous leur sommes également reconnaissants d’avoir mis en lumière ce projet et les Makers qui l’ont rejoint.

Le déconfinement pointe désormais le bout de son nez et de nombreux commerçants et artisans nous ont contacté pour se procurer des écrans faciaux afin de pouvoir reprendre leurs activités un peu plus sereinement.

C’est pourquoi aujourd’hui, en parallèle de nos impressions pour le réseau Shields, nous avons décidé de consacrer une partie de notre activité à la production d’écrans faciaux pour les professionnels et les particuliers.

Comment commander nos écrans faciaux

Lorsque nous nous sommes lancés dans l’impression d’écrans faciaux, le but n’était évidemment pas mercantile. Aussi nous vendons nos écrans faciaux à un prix juste, qui nous permet de maintenir l’activité de notre jeune pousse.

Nous proposons donc nos écrans faciaux au tarif de 6€ HT / 7,20€ TTC l’unité. Ils protègent l’intégralité du visage et peuvent être portées confortablement par-dessus un masque et/ou des lunettes.

L’impression d’un écran facial prend environ 1h30, nous pouvons donc (en fonction de la quantité commandée) les mettre à disposition de nos clients sous 48 à 72h. En parallèle nous travaillons sur l’optimisation de la fabrication afin d’augmenter la production. Nous n’excluons pas la possibilité de passer sur une fabrication basée sur la découpe Laser en plus de l’impression 3D. Il est possible de venir les récupérer à notre atelier de Villeneuve de la Raho, mais nous pouvons également les envoyer par la Poste pour les personnes/entreprises situées en dehors du département des Pyrénées Orientales (frais de ports en sus) .

Pour passer commande, rendez-vous sur notre boutique en ligne.

A la réception nous vous conseillons de les nettoyer avec un chiffon doux, avec de l’eau et du savon doux, ou avec du liquide vaisselle.

Ces écrans faciaux ne se substituent pas aux masques mais offrent une protection complémentaire, en particulier pour les yeux, contre les projections (postillons etc.). Ils ne doivent pas être utilisés à proximité d’une source de très grande chaleur ou d’un gaz inflammable.

Nos écrans faciaux ne sont pas des dispositifs médicaux ni des équipements de protection individuelle (EPI) et ne répondent pas aux normes réglementaires déterminées pour les appareils médicaux ou les équipements de protection individuelle (EPI).

Ils sont conçus pour un usage personnel dans des environnements non médicaux et ne sont pas conçus pour une utilisation en lien avec la protection antimicrobiale ou antivirale, la prévention des infections, la réduction des radiations ou la protection contre ces dernières.

Notre équipe reste à votre disposition pour toute question ou demande.

Nous sommes tous concernés par la crise épidémiologique que traverse notre pays actuellement. C’est pourquoi, lorsque nous avons vu passer l’appel du groupe « Shields – visière solidaire – Covid19 – Pays Catalan » sollicitant les possesseurs d’imprimantes 3D à fabriquer bénévolement des châssis de visières de protection pour le personnel médical, nous avons répondu présent.

C’est aujourd’hui 7 imprimantes 3D de notre parc qui sont dédiées à l’impression 24/7 de ces visières. Nous produisons ainsi chaque jour une trentaine d’exemplaires.

Dimanche 29 mars, le cap des 100 exemplaires imprimés a été passé dans nos ateliers et lundi 30 mars nous avons livré le 147^ème serre-tête. Et nous ne comptons pas nous arrêter là, notre équipe travaille actuellement à optimiser les impressions pour pouvoir produire plus de visières, plus vite.

Le groupe recherche toujours des bénévoles pour leur prêter main forte. Aussi, si vous disposez d’une ou plusieurs imprimantes 3D, n’hésitez pas à les contacter. Même si vous ne pouvez produire qu’un ou deux modèles par jour, en multipliant les points d’impression 3D le groupe pourra répondre aux sollicitations qui sont de plus en plus nombreuses.

Saluons les initiatives des makers en ces temps difficiles …

Dès le début de l’épidémie, de nombreux makers ont souhaité prêter main forte au personnel hospitalier.

Ce fut le cas en Italie où Cristian Fracassi, patron d’une entreprise pharmaceutique, s’est lancé dans l’impression 3D de valves de respirateurs à la demande d’un hôpital local. Ces valves sont destinées aux patients souffrant du coronavirus et coûtent 10 000 euros pièce. Malgré les menaces de procès du fabricant, Fracassi a imprimé des centaines de valves (à usage unique – contrairement à l’original) pour quelques euros. Son initiative a d’ailleurs été félicitée par la ministre italienne de l’innovation technologique.

Toujours en Italie, des ingénieurs de la société Isinnova ont transformé des masques de snorkeling de chez Decathlon en y ajoutant une valve imprimée en 3D afin de les convertir en masque de respiration artificielle. Decathlon leur a d’ailleurs immédiatement apporté leur soutien en leur fournissant les plans 3D de son masque « Easybreath » et les premiers essais ont été concluants.

Nous avons également été contactés pour produire des masques N95, dont les fichiers ont été mis à disposition pour Copper 3D. Cependant, bien que ces masques aient été homologués par l’OMS, nous avons assez peu de recul sur leur efficacité face au coronavirus (ils ne filtrent que 95% des particules de l’air). De plus, ces derniers doivent être thermoformés pour d’adapter au visage de leur utilisateur et être équipé de disque de coton pour assurer le filtrage. Nous en avons imprimé en ABS médical afin de faire des tests, mais leur production à grande échelle n’est pas encore à l’ordre du jour.

Enfin, Machine 3D a imprimé des diviseurs de flux afin de pouvoir utiliser des ventilateurs sur deux personnes en même. Dans le même temps, en Espagne et en Irlande, des ingénieurs cherchent à produire des ventilateurs à bas cout pour contrer la pénurie actuelle.

Ces petits coups de pouces des makers font particulièrement chauds au cœur, mais le plus important pour aider le corps médical est encore une fois de rester chez soi. Prenez soin de vous !