Que ce soit pour décorer un gâteau de mariage, ou à l’occasion d’un évènement familial ou professionnel, découvrez les mini-figurines ultra personnalisables de Click’n 3D à votre effigie ! 👩🏼👮🏽♂️👨🏻🦰👰🏻♀️
Façon caricature et sans déformation du visage, ces « Mini-moi » vont vous surprendre et vous amuser 😜
Le principe est simple, il faut d’abord nous rendre visite 8 impasse de l’Industrie à Villeneuve-de-la-Raho 📍
Notre kiosque muni de 9 appareils photo réalisera la modélisation 3D de votre visage en quelques secondes 📸
Après cette étape, vous entrerez dans notre dressing virtuel pour choisir votre coiffure et votre tenue parmi plus de 200 modèles👘👖🕶⛑🩴
Couleurs, motifs, déguisements, laissez libre cours à votre (ré)créativité et devenez le personnage de vos rêves ! 🌈
Si vous le souhaitez, vous pourrez aussi mettre un petit message sur le socle de votre figurine afin de parfaire la personnalisation 👌
Vous voyez, on s’amuse bien avec Click’n 3D, nous assurons toute la procédure de la photo en passant par la modélisation puis à l’impression 3D en couleur ! ✅
Grâce à notre technologie, les « Mini-moi » sont imprimés avec de la poudre minérale colorisée liée par de la colle, attention, à manier avec précaution ! 🙏
Par exemple, notre capacité de production nous a permis de répondre à une commande de plus de 150 figurines pour une entreprise qui a souhaité faire un petit cadeau 3D original et déjanté à ses salariés 🎁
Les « Mini-moi » à petits prix 🤑
👉 6 cm à 15,90€
👉 9 cm à 29,90€
👉 12 cm à 44,90€
Alors, envie de fun et de légèreté ? Créez votre « Mini-moi » avec Click’n 3D ! 😉
Click’n 3D, entreprise perpignanaise spécialisée dans l’impression 3D, est fière d’annoncer qu’elle a obtenu le renouvellement de sa certification ISO 9001 pour la cinquième année consécutive. Cette certification garantit que les processus de l’entreprise sont efficaces, fiables et conformes aux meilleures pratiques de l’industrie.
Cette certification est le résultat d’un engagement continu de Click’n 3D à améliorer la qualité de ses produits et services. La norme ISO 9001 exige une gestion rigoureuse de la qualité dans tous les aspects de l’entreprise, de la conception en passant par la modélisation 3D, de l’impression 3D jusqu’à la livraison des produits finis.
La norme ISO 9001 garantit aux clients de Click’n 3D qu’ils peuvent compter sur une qualité constante et fiable pour tous leurs projets d’impression 3D.
C’est le travail de toute une équipe qui est récompensé. Click’n 3D est fière de cette réalisation et continuera à investir dans les meilleures technologies et pratiques pour garantir la satisfaction de ses clients. Nous remercions nos clients pour leur confiance en nous et nous nous engageons à continuer à fournir des produits et services de qualité.
Depuis Octobre 2021, Click’n 3D est heureux d’accueillir un alternant au sein de sa petite équipe : le désormais indispensable Lucas. Actuellement étudiant à l’IAE de Perpignan, ce dernier est en passe d’obtenir une Licence d’Économie et Gestion. Aussi, afin de mettre en application les connaissances vues au cours de sa formation, Lucas a décidé de mener une enquête visant à déterminer si le grand public était familier avec la réparation par impression 3D.
Aujourd’hui, nous partageons avec vous les résultats de son sondage et en profitons pour remercier les 120 personnes qui ont accepté d’y participer.
Réparer plutôt que jeter : une idée qui a fait son chemin…
Obsolescence programmée, renouvellement permanent de l’offre, les marques n’ont eu de cesse que de nous pousser vers le ré-achat. Cependant, les consommateurs sont désormais conscients de leur impact environnemental et tendent vers une consommation plus raisonnée. Ainsi, plus de 90% des personnes sondées déclarent souhaiter réparer plutôt que de jeter.
Dans le top 3 des objets que nos participants aimeraient pouvoir réparer on retrouve le petit électroménager, l’électronique et le gros électroménager. Rien de bien surprenant quand on sait qu’une fois passée la garantie, bon nombre de ces équipements rendent l’âme et que les pièces de rechange sont soit bien plus chères que le produit neuf, soit indisponibles en SAV. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle près de 88% des sondés n’ont pas pu aller au bout de leurs projets de réparation.
Mais alors pourquoi ne pas se tourner vers la réparation par impression 3D ?
Bien qu’elle soit connue de tous (98% de sondés), l’impression 3D est encore loin d’être un réflexe lorsqu’il s’agit de réparation. En cause, le manque d’informations sur les possibilités offertes. En effet, nombreux pensent que cette technologie ne s’applique qu’aux matériaux plastiques. Pourtant, les métaux prennent une place de plus en plus importante dans cette industrie de pointe. Sachant que le critère prioritaire aux yeux des consommateurs serait la solidité des pièces produites, on comprend mieux pourquoi certains restent réfractaires à cette alternative.
Second frein à la démocratisation de la réparation par impression 3D : son prix. Difficile de savoir combien peut coûter ce type de prestation sur-mesure. On l’imagine donc relativement onéreuse.
Cependant, il faut savoir que celle-ci peut éviter, en imprimant juste une petite pièce, l’achat d’un ensemble d’éléments plus important. Et les devis sont gratuits chez Click’n 3D !
En conclusion, l’enquête de Lucas nous a permis de réaliser que les sociétés telles que la nôtre se doivent de communiquer plus largement sur leurs métiers, technologies et services pour renvoyer une image plus fidèle de l’impression 3D auprès des consommateurs.
Depuis la création de Click’n 3D, la réparation par impression 3D a toujours occupé une place centrale dans notre activité. Lutter contre l’obsolescence programmée et s’inscrire dans une démarche d’économie circulaire est une de nos priorités.
Que ce soit pour les particuliers ou les professionnels, être en mesure de proposer des pièces détachées introuvables en SAV nous apporte une grande satisfaction.
Cet état d’esprit, c’est également celui que partage Cap’tain Chercheur, une entreprise de notre belle région avec qui nous collaborons depuis quelques temps…
Cap’tain Chercheur : quand on cherche on trouve, ou on se débrouille !
Fondée en 2019 par Vincent Paravey, un passionné de voile et ancien responsable d’un magasin d’équipement nautique, Cap’tain Chercheur est une plateforme spécialisée dans la recherche de pièces détachées pour bateaux de plaisance.
Que ce soit pour trouver des pièces de seconde main ou piocher dans des stocks dormants, le Cap’tain et son équipe ont tissé un réseau de partenariats avec des revendeurs du monde entier afin de pouvoir répondre à toutes les demandes de leurs clients. Cependant, certaines pièces restent parfois introuvables. Mais le Cap’tain ne manque pas de ressources.
C’est pourquoi l’entreprise a ouvert son propre bureau d’étude et s’est entourée de spécialistes en usinage numérique et en impression 3D, comme Click’n 3D, pour les accompagner sur ces missions « impossibles ».
L’impression 3D à la rescousse…
Imaginons, vous êtes l’heureux propriétaire d’un charmant bateau de plaisance. Cela fait des années que vous sillonnez les mers et là, c’est le drame. Une pièce de winch vient de rendre l’âme. Problème, cette pièce n’est plus distribuée depuis belle lurette.
Votre premier réflexe : faire une demande de recherche auprès de Cap’tain Chercheur.
Toute l’équipe est sur le pont, des messages sont envoyés à l’ensemble de leurs partenaires, les jours passent et le couperet tombe. Personne ne dispose de la pièce en question.
Branle-bas de combat, le bureau d’étude prend le relais. Plans, mesures, photos, voire même la pièce d’origine cassée, vous envoyez l’ensemble des éléments en votre possession au Cap’tain. Ce dernier sollicite alors ses experts en impression 3D.
Quelques modélisations 3D et tests plus tard, vous recevez votre pièce détachée. Cerise sur le gâteau, cette pièce sera intégrée au catalogue de pièces introuvables de Cap’tain Chercheur.
Pour l’heure, l’entreprise s’adresse principalement à une clientèle hexagonale, mais compte bien se développer à l’international, en particulier en Espagne, dans les mois à venir.
Nous remercions Vincent Paravey pour le temps qu’il nous a consacré pour la rédaction de cet article et vous invitons à visiter le site de Cap’tain Chercheur pour en savoir plus.
En mars dernier, Click’n 3D a été sélectionné pour accueillir les membres du G16 Maintenance de Perpignan. L’occasion pour notre équipe de partager son savoir-faire avec les industriels de la région.
Quid de l’impression 3D pour les industriels ?
Fondé en 1991, le G16 Perpignan est une association d’industriels du département des Pyrénées-Orientales ayant pour vocation de permettre à ses membres de partager leurs bonnes pratiques et de développer des projets en commun.
Aussi, ces derniers se rassemblent régulièrement, le plus souvent pour découvrir les centres de production des uns et des autres, afin d’échanger sur les dernières innovations industrielles.
Curieux d’en savoir plus sur l’impression 3D et ses applications dans le monde de l’industrie, le G16 a cependant fait une entorse à ses règles en se rendant sur les installations d’une entreprise non-membre de l’association, à savoir, la nôtre.
Nous avons donc eu la chance d’animer une conférence sur notre sujet de prédilection. En effet, l’impression 3D a beaucoup à offrir à ces professionnels et bien que cette technologie existe depuis une trentaine d’années, elle ne cesse d’apporter son lot d’innovations.
Comprendre le B.A.-BA de la fabrication additive
Pour remettre tout le monde dans le bain, nous avons débuté notre conférence avec un petit rappel de l’état d’art de l’impression 3D : les différentes étapes nécessaires, de la modélisation à la post-production, les différentes technologies et leurs avantages, etc.
En effet, quand on parle d’impression 3D, on pense souvent à la technique la plus répandue, la fameuse FDM (ou dépôt de fil). Particulièrement intéressante pour réaliser des prototypes, ce n’est cependant pas la seule technique disponible sur le marché.
La SLA (ou stéréolithographie) présente elle aussi bien des avantages. Très précise, cette technologie est prisée des joailliers qui l’utilisent pour créer des moules à cire perdue.
Enfin, la technique la plus récente, la SLS (ou frittage laser), dépasse son ainée en terme de précision et permet de réaliser des objets robustes et flexibles, même en grand format. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle a su séduire les designers et les architectes.
Des matériaux pour séduire les industriels
Une fois les technologies passées en revue, nous sommes entrés dans le vif du sujet : les matériaux. Bien des industriels sous-estiment le potentiel de l’impression 3D. Là encore, c’est souvent le matériau le plus courant qui leur vient à l’esprit : l’incontournable plastique. Et pourtant, plus rien ne résiste à la fabrication additive, dur, mou (TPU), composites, des PVA dissolvables au Titane en passant par l’acier ou bien encore le chocolat, le choix devient très important !
Aussi, l’impression 3D est désormais partout : mode, architecture, cuisine, aéronautique… Et elle a déjà débuté son entrée dans le monde industriel !
En tout cas, c’est ce que nous avons tenté de démontrer lors de cette conférence des plus conviviales.
Décidément, le champ d’application de l’impression 3D n’en finit pas de s’étendre. Que ce soit pour le prototypage, de petites séries, la réalisation de maquettes ou de réparation 3D, nos derniers projets démontrent la versatilité de cette technologie.
Néanmoins, nous sommes toujours surpris par la créativité de nos clients quand il s’agit de mêler notre savoir-faire aux leurs. Aussi, nous sommes très fiers de vous présenter le fruit de notre collaboration avec Atelier Graphic 66.
Une part de pizza géante imprimée en 3D ?
Contrairement à ce que l’on pourrait penser de prime abord, ce projet ne fait nullement appel à l’impression 3D alimentaire, même si l’objectif est bel et bien de vous donner l’eau à la bouche.
Cette idée un peu folle est née dans l’esprit d’un pizzaïolo de notre belle région qui, inspiré par un film, décide de décorer son véhicule de livraison d’une part de pizza montée sur ressort. Reste maintenant à trouver l’équipe qui saura donner vie à son projet.
Il se rapproche alors d’Angélique Fouliard, une jeune chef d’entreprise à la tête du studio créatif « Atelier Graphic 66 », qui s’est spécialisée dans la création d’identités visuelles et d’enseignes. Bien décidée à relever le défi, elle se met rapidement en quête de la solution technique la plus appropriée.
Créer une telle enseigne amène des contraintes bien différentes de ses projets habituels. En premier lieu, la sécurité, la part de pizza ne doit pas être trop lourde au risque d’endommager le véhicule. Ensuite, la durabilité, ce serait dommage que l’enseigne se dégrade dès la première averse. Enfin, l’esthétique, Angélique souhaite obtenir le rendu le plus réaliste possible en termes de textures et de volumes. Pour toutes ces raisons, c’est naturellement qu’elle se tourne vers l’impression 3D.
Une co-création appétissante
Un tel projet demande de nombreux aller-retours, aussi est-il indispensable de travailler avec un partenaire local. Et cela tombe bien, Click’n 3D et Atelier Graphic 66 sont tous deux situés à Villeneuve de la Raho.
Armée de ses dessins et croquis, Angélique est donc venue nous présenter son concept. La consigne est simple : il faut que ça fasse « vrai ». Pour y parvenir, nous décidons de séparer « la pâte » de ses toppings (olives, peppéroni). Cela permettra de conserver les volumes et de réaliser les mises en couleurs séparément. Une fois la modélisation 3D validée, nous procédons à l’impression par dépôt de fils des différents éléments en PLA blanc. Il ne reste plus qu’à peindre ce beau bébé de 50 cm.
Angélique reprend donc le relais et s’attaque à la mise en peinture de la pizza. Sur nos conseils, elle opte pour la peinture acrylique et le verni en spray qui offrent les meilleurs résultats en termes d’esthétique et de résistance aux intempéries. Une bonne dose d’huile de coude plus tard, le résultat est au rendez-vous et la part de pizza est prête à prendre la route !
Un bel exemple de co-création pour un projet qui, nous l’espérons, vous donnera des idées…
Nous remercions Angélique Fouliard pour le temps qu’elle nous a consacré pour la rédaction de cet article et vous invitons à visiter la page Facebook d’Atelier Graphic 66 pour en savoir plus sur son agence.
Si l’on peut retirer un point positif des confinements de 2020, c’est bien d’avoir su stimuler la créativité des entrepreneurs. Quitte à rester chez soi, pourquoi ne pas se pencher sur des solutions qui permettraient de transformer son foyer en un véritable havre de paix.
C’est en partant de ce raisonnement que Vanessa Weber et Sébastien Landelle ont créé Wéla Bassins…
Un point d’eau comme point de départ…
Comme bon nombre de confinés, Vanessa et Sébastien ont profité de ces mois « à la maison » pour se lancer dans des travaux. L’idée d’ajouter un bassin d’agrément le long de leur terrasse fait rapidement son chemin.
Oui mais voilà, Sébastien est pisciniste de métier. Il est donc particulièrement familier des problèmes rencontrés par les paysagistes et sait pertinemment qu’un bassin, aussi modeste soit-il, est loin d’être un « petit bricolage du dimanche ».
En effet, la création de ces espaces bucoliques peut rapidement tourner au chantier titanesque : terrassement, coulage d’une dalle béton, phase de séchage, etc. Plusieurs mois sont nécessaires pour donner vie à ce type de projet.
Le couple se demande alors comment faire pour rendre ce rêve accessible au plus grand nombre.
Des modules aussi simples à assembler qu’un jeu de brique
Premier point à éliminer pour simplifier l’installation d’un bassin d’agrément : la dalle béton. Et pour ce faire, nos deux entrepreneurs ont une idée ingénieuse : proposer des bassins étanches autoportants. Comme ça, plus besoin de travaux de maçonnerie, ni de soucis d’étanchéité. Le concept « Waterwé » était né !
Réalisés en fibre de verre, les modules de 50 cm de profondeur se déclinent en trois formats pouvant être assemblés à l’envie, tel un jeu de brique, la colle et les vis en plus. Ces modules ne pèsent pas plus de 30 kilos et sont suffisamment compacts pour passer par la porte.
Enterrés sur un lit de gravier ou hors-sol, ils peuvent être habillés de carrelage, de bois, et même être vitrés grâce à leur design exclusif (et déposé) ! Cerise sur le gâteau, leur conception est 100% made in France.
Avec ce concept révolutionnaire, les paysagistes vont pouvoir proposer des bassins jusqu’à trois fois moins chers qu’auparavant et dont l’installation ne nécessite pas plus de 72h. A nous la joie de tremper nos pieds parmi les poissons !
Après 2 années de recherche et développement, le projet Wéla est prêt à être commercialisé et l’intérêt des professionnels ne s’est pas fait attendre.
Des maquettes imprimées en 3D pour faciliter la commercialisation
Novateurs et abordables, le potentiel des modules « Waterwé » a immédiatement séduit ECHO-VERT. Aussi, l’entreprise spécialisée dans les solutions innovantes à destination des professionnels des espaces verts s’est rapprochée de Wéla Bassins afin de conclure un partenariat.
Présence sur les salons professionnels, distribution dans les 11 agences de l’enseigne : pas moins de 35 commerciaux doivent désormais se familiariser avec le concept.
Aussi, pour faciliter leur travail et aider leurs clients à visualiser les possibilités offertes par les modules « Waterwé » (rebaptisés « innov’bassin » pour l’occasion), l’équipe de Wéla Bassins se propose de doter les équipes commerciales de sets de maquettes.
Et c’est là que Click’n 3D intervient ! Sur la base des dessins et modèles réalisés par ses concepteurs, l’équipe de Click’n 3D s’est occupée de la modélisation 3D des 4 modules et de leur impression en PLA noir à l’échelle 1/100ème. Une production en petite série que seule pouvait rendre possible l’impression 3D.
Utilisées pour la première fois sur le stand d’ECHO-VERT au salon Paysalia 2021, ces maquettes ont remporté un véritable succès. A la fois ludiques et intuitives, elles ont su attirer la curiosité des professionnels du secteur paysagé et susciter l’engouement pour ce produit innovant.
Encore une fois, la fabrication additive révèle tout son potentiel et montre qu’au-delà des phases de conception, elle peut accompagner les projets dans leur phase de commercialisation. Si vous aussi, vous souhaitez profiter de notre expertise dans la modélisation 3D et l’impression en petite série, n’hésitez pas à nous faire part de vos idées.
Nous remercions Vanessa Weber et Sébastien Landelle pour le temps qu’ils nous ont consacré pour la rédaction de cet article et vous invitons à visiter le site Internet de Wéla Bassins pour en savoir plus sur leur technologie.
Notre belle région des Pyrénées-Orientales regorge de sites touristiques remarquables. Parmi eux, les Caves Byrrh font partie des incontournables pour tout amateur de patrimoine industriel et culinaire.
Situées à Thuir, les Caves Byrrh sont ouvertes au public à travers un circuit-visite à la découverte du célèbre apéritif. Véritables témoins des Trentes Glorieuses, les Caves abritent, sous leur charpente Eiffel, la plus grande cuve en chêne du monde !
Vers un tourisme plus inclusif …
En 2011, le circuit visite des Caves Byrrh a intégré le patrimoine de la Communauté de Communes des Aspres. Un détail qui a son importance.
En effet, cette dernière a réalisé de nombreux travaux pour l’aménagement d’un nouveau circuit de visite. Parmi leur priorité : l’accessibilité. Ainsi, le site dispose désormais du label « Tourisme & Handicap ».
Aussi, dans le cadre de leur démarche qualité, l’Office du Tourisme de l’Intercommunal Aspres Thuir, cherche à rendre le site encore plus accessible aux personnes touchées par un handicap visuel. Au-delà de leurs signalétiques et documentations en braille, l’Office du Tourisme s’est mis en quête d’une solution permettant aux malvoyants de mieux s’approprier la pièce maitresse du circuit : la fameuse cuve de 1 000 200 litres.
Et c’est ainsi qu’une recherche sur Google plus tard, l’impression 3D s’est imposée comme une évidence.
Une maquette qui n’est pas faite que pour les yeux …
L’équipe de Click’n 3D a donc été contactée pour concevoir et imprimer une maquette (au 1/50ème) de la cuve en chêne. A partir de photos et des mesures de la bête, une modélisation 3D a été réalisée.
S’en est suivie une centaine d’heures d’impression 3D en dépôt de fil (FDM) pour donner vie aux différentes pièces de la maquette.
Enfin, près de trois jours ont été nécessaires pour l’assembler et la mettre en peinture. En résulte un modèle réduit fidèle dans les moindres détails (les cerclages de la cuve ont été symbolisés par des élastiques) et pensé pour durer. N’oublions pas qu’elle est là pour être touchée !
Installée sur un piédestal accompagné de légendes en braille et de pictogrammes à destination des plus jeunes, la maquette trône fièrement à côté de son homologue XXL.
Une belle idée que nous souhaitons voir se démocratiser sur de nombreux sites touristiques et une belle expérience pour Click’n 3D qui aime toujours autant travailler avec des organismes locaux.
Nous remercions Aurélie SICART de l’Office de Tourisme Intercommunal Aspres-Thuir pour le temps qu’elle nous a consacré pour la rédaction de cet article.