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    Piece jointe :


    Des poissons-robots imprimés en 3D pour sauver de vrais poissons ?

    Des chercheurs ont mis au point des poissons-robots imprimés en 3D et ce n’est pas simplement pour faire joli dans un aquarium …

    Des poissons-robots petits mais costauds …

    De prime abord, l’idée de créer des poissons robotiques peut sembler quelque peu loufoque. Et pourtant les petites créatures mises au point par les équipes de la doctorante Roni Barak Ventura de l’Université polytechnique de New York vont nous permettre de mieux comprendre les « vrais poissons » et ainsi les sauver d’une mort certaine.

    En effet, les poissons interagissent particulièrement bien avec leurs homologues robotiques. Cette formidable cohabitation a ainsi pu permettre aux chercheurs d’analyser les réactions des poissons face à certains stimuli, mais également de modifier leur comportement.

    Aussi, dans la nature, les poissons-robots seraient capable d’éloigner un banc de poissons d’un danger tel qu’un déversement de pétrole.

    Autre bonne nouvelle pour nos amis à écailles, ces répliques mécaniques sont tellement fidèles à l’original qu’elles pourraient les remplacer pour des expériences en laboratoires.

    poissons-robots
    Crédit : Dynamical Systems Laboratory

    Une technologie à la portée de tous, ou presque …

    L’équipe autour du projet est constituée des profils très variés : ingénieurs, mathématiciens, biologistes, psychologues…

    Et pourtant les composants des poissons-robots n’ont rien de très sophistiqués. Sous leur coque plastique imprimée en 3D se cachent de petits moteurs et des caméras à bas prix. Le tout étant contrôlé en Bluetooth ou en WIFI.

    Là où se cache la complexité est dans l’intelligence artificielle des robots. En effet ces derniers peuvent soit baser leurs trajectoires basées sur des modèles mathématiques de nage de poissons préenregistrés, soit adapter leur comportement à leur environnement et aux vrais poissons qui les entourent. Compte tenu de la nature imprévisible des poissons, cette seconde option a été de loin la plus difficile à paramétrer.

    L’équipe de Mme Ventura aura d’ailleurs bientôt l’occasion de présenter leur fruit de leurs recherches lors d’une conférence à l’Atlantic Design and Manufacturing Show de New-York le 12 juin prochain.

    Le plus grand peintre du 21ème siècle serait … une imprimante 3D ?

    Depuis le 5 avril et jusqu’au 9 juillet le Grand Palais nous propose de découvrir l’exposition « Artistes & Robots ». Une exposition qui présente essentiellement des œuvres d’art réalisées par des artistes utilisant les nouvelles technologies, l’intelligence artificielle et bien évidemment les robots. On en vient alors à questionner le rôle de l’artiste ainsi que notre conception de l’art. L’occasion pour l’équipe de Click’n 3D de revenir sur les projets mêlant art et impression 3D.

    L’impression 3D : le nouveau terrain de jeu des artistes

    Designers, architectes, stylistes, nombreux sont les artistes qui se sont penchés sur la fabrication additive pour réaliser leurs projets.

    Nous vous avions déjà parlé de Nervous System et de leurs robes Kinematic Petals ou bien encore du designer Patrick Jouin dont les créations 3D printed ont été présentées dans bon nombre de musées et de galeries d’arts de par le monde.

    Ici, l’impression 3D se voulait l’outil de la création, le moyen pour l’artiste de donner corps à sa vision. Or depuis quelques temps et avec les progrès de l’intelligence artificielle, les « machines » seraient désormais dotées d’un sens artistique et pourraient donc produire leurs propres chefs d’œuvres.

    A se demander si le prochain grand nom de l’art contemporain ne pourrait pas être une imprimante 3D.

    The Next Rembrandt : le plus grand faussaire de tous les temps

    En 2016, l’agence de publicité J Walter Thompson dévoilait « The Next Rembrandt ». Un portrait qui semble tout droit sorti de l’atelier du maître de l’art baroque européen. Tout y est, le style, les couleurs, le coup de pinceau et pourtant cette peinture est l’œuvre d’une imprimante 3D.

    artiste

    Ce projet surprenant aura demandé 18 mois de travail à une équipe mêlant historiens de l’art et ingénieurs. Ces derniers ont  ainsi mis au point un logiciel unique et un algorithme de reconnaissance faciale pour analyser les scans 3D de plus de 300 tableaux de Rembrandt.

    Ce logiciel a alors pu déterminer les caractéristiques propres à l’artiste et a été en mesure de générer ce portait, qui a ensuite été imprimé en 3D, afin de recréer la texture d’un vrai Rembrandt.

    Une copie plus vraie que nature

    La même année, les ingénieurs de Verus Art mettaient au point un scanner 3D très haute définition capable de capter à la perfection les couleurs et les textures afin de pouvoir reproduire des peintures le plus fidèlement possible.

    Le Musée des beaux-arts du Canada a été le premier à se prêter au jeu et permit la numérisation et l’impression de 12 œuvres parmi lesquelles figurent des Van Gogh des Monet ou bien encore des Cézanne. Et d’après les experts, les résultats pourraient vraiment prêter à confusion. Si le cœur vous en dit vous pouvez même faire l’acquissions d’une de ces peintures en déboursant entre 400 et 4000 euros.

    On touche avec les yeux ?

    Afin de faire profiter les malvoyants des peintures des grands maitres, plusieurs musées ont également eu recours à l’impression 3D afin de reproduire des œuvres d’arts en relief.

    artiste

    C’est le cas du musée Prado en Espagne qui proposa ainsi de toucher les créations de Greco, Gentileschi et de José de Ribera.

    Une idée qui sera reprise quelques temps plus tard par le musée du Belvédère à Vienne afin de présenter le célèbre « Baiser » de Klimt.

    Une initiative remarquable qui nous l’espérons trouvera bientôt sa place dans tous les musées.

    Des circuits électroniques imprimés en 3D à même la peau …

    Des chercheurs de l’Université du Minnesota viennent de mettre au point une nouvelle imprimante 3D capable d’imprimer des circuits électroniques à même la peau. Une innovation qui intéresse tout particulièrement l’armée.

    Bientôt des soldats-bioniques dans les rangs de l’armée ?

    Imprimer à la demande des capteurs permettant de détecter des agents chimiques, ce n’est clairement pas le souci du commun des mortels. Mais à l’ère du tout bionique, cette innovation pourrait rapidement trouver sa place sur les champs de batailles.

    Et c’est dans cette optique que les chercheurs de l’équipe du Professeur Michael McAlpine ont mis au point cette imprimante 3D révolutionnaire :

    « Nous imaginions qu’un soldat pourrait sortir cette imprimante de son sac à dos et imprimer un capteur chimique ou d’autres appareils électroniques dont il aurait besoin, directement sur sa peau. Cette imprimante pourrait devenir « le couteau Suisse » du futur. »

    En effet, au-delà de l’impression de capteurs, cette imprimante combinée à des cellules photovoltaïques permet de réaliser des batteries portables. Le tout étant temporaire et facilement décollable de la peau.

    Pour réaliser ce tour de force, les chercheurs ont dû mettre au point une encre capable de se solidifier à température ambiante afin de ne pas brûler la peau de l’utilisateur. La plupart des matériaux utilisés par les imprimantes 3D traditionnelles devant être chauffés à des températures dépassant les 100°C, ils se sont donc tournés vers un alliage à base de poudre d’argent.

    Mais l’innovation ne s’arrête pas là. Qui dit champ de bataille, dit agitation. Or pour pouvoir imprimer correctement une imprimante 3D a besoin de stabilité. Pour pallier à ce problème, cette imprimante peut s’adapter en temps réel aux petits mouvements du corps lors de l’impression.

    Comme beaucoup d’innovations à destination de l’armée, une application plus grand public est également envisagée.

    La prochaine étape pour l’équipe de Professeur McAlpine serait ainsi l’utilisation de bio-encre afin traiter des maladies de peau. Des premiers essais ont d’ores et déjà étaient réalisés sur des souris, et se sont montrés concluant.

    Mais le plus épatant reste encore le prix de cette imprimante 3D portable. Moins de 400 $. Reste maintenant à savoir si elle trouvera sa place dans le sac à dos des soldats du futur.

    Mettre fin à ses jours dans une capsule imprimée en 3D ?

    L’association Exit International vient de mettre au point une machine à euthanasie imprimée en 3D. Une idée qui semble tout droit sortie d’un roman de science-fiction née d’un besoin de sensibiliser l’opinion publique sur la question de la fin de vie.

    Si le sujet est d’actualité, il est aussi source de bien des controverses. L’euthanasie, ou suicide assisté, reste une question délicate. En Australie, Philip Nitschke cherche à ouvrir le débat sur la légalisation de l’euthanasie au travers de son association Exit International.

    Au cours de la « Exit NuTech Conference », l’ancien docteur et l’ingénieur hollandais Alexander Bannick dévoilaient « The Sarco », la première machine à suicide à monter soi-même.

    Exit International
    The Sarco – Crédit : Exit International

    Le concept est de permettre à tous ceux souhaitant mettre fin à leurs jours, quelques soit la raison, médicale ou non, d’imprimer ce sarcophage à l’aide d’une imprimante 3D.

    Bien que les fichiers soient disponibles en téléchargement, le sarcophage ne pourra se mettre en route qu’après avoir saisi un code à 4 chiffres. Pour l’obtenir, le candidat au suicide devra compléter un questionnaire afin d’évaluer sa santé mentale. S’il est considéré comme apte à prendre une décision raisonnée, le code lui sera transmis.

    Il pourra alors s’installer dans la capsule qui se remplira d’azote liquide, le menant en quelques minutes vers une mort paisible.

    La capsule peut ensuite être détachée pour se transformer en cercueil, le reste de la machine restant quant à lui réutilisable.

    Pourquoi un tel projet ?

    Depuis 1995, Philip Nitschke est un fervent défenseur du droit au suicide. Il fut d’ailleurs le premier à administrer une injection létale à un patient en phase terminale. A l’époque, la pratique était légale en Australie.

    Exit International
    Philip Nitschke – Crédit : Exit International

    Lorsque la loi fut changée, rendant l’euthanasie illégale, le docteur Philip Nitschke créa Exit International et renonça à son droit d’exercer la médecine.

    Son objectif est de faire reconnaitre le suicide comme un droit civil. A ses yeux, chaque individu devrait avoir le droit de choisir le jour et l’heure de sa mort, sans avoir à se justifier. Et dans les meilleures conditions possibles.

    Si l’euthanasie et le suicide assisté restent illégaux dans la majorité des pays, certaines nations quant à elles l’autorisent. C’est le cas du Canada, de la Belgique et du Luxembourg. Dans d’autres pays comme l’Allemagne ou la Suisse, ils ne peuvent être pratiqués que dans un cadre médical.

    D’un point de vu légal « The Sarco » n’enfreint aucune règle. Aucun des matériaux ou produits nécessaires à sa conception ne nécessite une quelconque autorisation ou expertise. La machine entre donc dans une zone grise où le suicide est assisté, sans nécessiter l’intervention d’un tiers.

    De l’urine pour alimenter nos imprimantes 3D ?

    Des chercheurs travaillent activement à trouver une solution pour recycler l’urine des astronautes afin d’en faire du plastique. Le tout pour leur permettre d’imprimer en 3D des pièces de rechanges.

    Du plastique à base d’urine ?

    Comme nous l’évoquions dans un précédent article, l’impression 3D est devenue indispensable pour les astronautes. En effet, une bonne partie de leur temps étant consacré à réparer leur station orbitale, limiter le stock de pièces détachées au bénéfice d’une impression sur-demande leur offre une plus grande autonomie et permet de réaliser d’importantes économies.

    Pour pousser plus loin cette logique d’autosuffisance, des chercheurs de l’Université de Clemson en partenariat avec la NASA, ce sont mis en tête de produire du plastique à partir d’urine.

    Le recyclage de cette ressource inépuisable semble être une idée de génie. Et pour cause, les astronautes recyclent déjà leurs urines afin d’en faire de l’eau potable.

    Ainsi, le professeur Mark Blenner a découvert qu’en mélangeant certaines souches de levures, la Yarrowia lipolytica, avec de l’urine, il était possible de créer du plastique. Plus précisément du polyester.

    Ce polyester pourrait ensuite être transformé en consommable pour imprimantes 3D.

    Le problème, c’est que pour l’instant il faut plus de 1000 litres d’urine pour produire à peine quelques grammes de plastique. Et même si par essence les astronautes sont des surhommes, ils ne sont pas équipés de supers vessies.

    La solution serait donc de modifier génétiquement ces levures pour booster leur production de plastique à partir d’une quantité plus modeste du précieux liquide.

    Mais pourquoi l’autosuffisance devient-elle indispensable ?

    Comme vous le savez déjà, la NASA se penche sérieusement sur une mission martienne. Mais la route est longue jusqu’à la planète rouge et le ravitaillement tel qu’il existe actuellement pour les stations orbitales ne sera tout simplement pas possible.

    Aussi, faut-il trouver des solutions pour que l’équipage ne manque de rien une fois lancé. A partir de ces mêmes recherches, Mark Blenner a été capable de synthétiser de l’omega 3, un nutriment indispensable au cerveau humain, mais uniquement disponible via l’alimentation.

    Comme quoi dans l’espace rien ne se perd, tout ce transforme.

    INTERVIEW : Nora Toure de Women in 3D printing – L’impression 3D au féminin

    Cette semaine les filles de Click’n 3D ont fait la rencontre de Nora Toure, fondatrice de « Women in 3D Printing », un réseau international de femmes dans l’impression 3D. L’occasion pour nous de lui poser toutes nos questions sur cette plateforme unique en son genre.

    Women in 3D Printing  Kezako ?

    Nora Toure se familiarise avec l’industrie de la fabrication digitale lorsqu’elle rejoint la branche américaine de Sculpteo, un service en ligne d’impression 3D,  en 2010. Aujourd’hui General Manager elle fait face à un constat : les femmes dans les secteurs tech et industriels sont relativement nombreuses mais peu visibles.

    Elle décide alors de créer une plateforme dédiée au parcours de femmes impliquées dans l’industrie de l’impression 3D. Le projet « Women in 3D Printing »,  était né.

    Women in 3D printing
    Nora Toure

    S’en suit la mise en ligne d’interviews de femmes aux parcours atypiques et plus intéressantes les unes que les autres. Une véritable source d’inspiration. Ces portraits reflètent l’évolution de la fabrication additive durant ces dix dernières années. Santé, Mode, Art, ces femmes nous prouvent que l’impression 3D est bien plus qu’un outil de prototypage.

    La plateforme se penche également sur les enjeux pédagogiques de ces nouvelles technologies et cherche à casser les préjugés. Comme dans cette interview de Stephania Stefanakou , créatrice de « House of Anesi », qui nous explique que peu de personnes comprennent comment une femme avec un parcours mode puisse maitriser la modélisation et l’impression 3D.

    La plateforme s’est rapidement enrichie d’un job board et d’un espace mentor permettant d’entrer en contact avec des pilliers de cette industrie prêtes à partager leurs connaissances.

    Au-delà du site web, « Women in 3D Printing » a également mis en place des évènements mensuels, en partenariat avec Cyant, les #3DTalk. Organisés entre San Francisco, New York et Paris, ces tables rondes mettent en avant 3 femmes dans un domaine de l’impression 3D.

    Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui souhaitent se lancer dans l’impression 3D ?

    Nora Toure : « Il n’est jamais trop tard pour utiliser cette technologie. Contrairement aux idées reçues, il n’est pas nécessaire d’avoir fait une école d’ingénieur ou d’être une pro du code pour maitriser l’impression 3D.

    L’impression 3D peut être utilisée dans toutes les industries: de la mode à l’aérospatial ! Et les innovations en termes d’utilisation ne pourront venir que des spécialistes de ces industries.

    Il faut utiliser l’impression 3D pour ce qu’elle est : un outil de fabrication polyvalent qui peut être combiné à d’autres outils et technologies en fonction de votre domaine d’expertise.

    La démocratisation de l’impression 3D est inévitable, que ce soit dans les usines, les entreprises ou bien encore les écoles. Mais également dans notre quotidien. Une chose est sûre, il faut penser “outside of the box”, et voir comment vous pouvez améliorer les choses. »

    Merci à Nora Toure de nous avoir accordée cette entrevue. Pour plus d’informations, nous vous invitons à consulter le site de Women in 3D printing.

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    Avec TAKT PROJECT, le cristal s’imprime en 3D

    Depuis maintenant 2 ans, la célèbre cristallerie autrichienne Swarovski organise les Designers of the Future Awards. Ce concours récompense les projets innovants mêlant cristal, design et nouvelles technologies.

    TAKT PROJECT

    Parmi les grands gagnants de l’édition 2017, qui s’est déroulée à Basel (Suisse) en avril dernier, on retrouve les japonais de TAKT PROJECT et leurs vases 3D printed.

    Focus sur TAKT PROJECT

    Formé en 2011 par Satoshi Yoshiizumi, ancien designer du studio Nendo avec qui il collabora sur des projets pour LOTTE et Lexus, TAKT PROJECT est un studio de design profondément humaniste.

    TAKT PROJECT

    En effet, au-delà de design séduisants, le studio souhaite surprendre, questionner et avoir un impact positif sur notre quotidien.

    Un postulat qui aura trouvé écho avec la thématique 2017 du concours « Shaping Societies » (modeler la société, dans la langue de Molière).

    Le projet « Ice Crystal »

    Satoshi Yoshiizumi et son équipe ont ainsi répondu présent à l’appel des autrichiens en proposant une série de vases et de chandeliers imprimés en 3D cristal.

    Pour ce faire, ils se sont appuyés sur les recherches de Micron3DP. Basée à Tel Aviv, l’entreprise s’était récemment illustrée en imprimant en 3D du verre haute résolution, soit ni plus ni moins que du cristal. Pionner dans le domaine, ils ont ainsi pu concrétiser la vision des japonais et réaliser au passage une première mondiale.

    TAKT PROJECT

    L’impression 3D a ainsi permis aux modèles imaginés par TAKT PROJECT d’arborer des formes absolument inédites dans le domaine de la verrerie. En effet, aucune des techniques traditionnelles, moulage, soufflage, découpage, n’aurait permis d’atteindre ce niveau de complexité.

    Contrairement à la plupart des imprimantes 3D, la machine de Micron3DP n’a pas besoin d’imprimer en continu et peut ainsi créer des structures complexes et des cavités dans le cristal.

    Le résultat en toute finesse, les parois des vases et des chandeliers ne font que 1.5 mm d’épaisseur, évoquent des cristaux de givre et réfléchissent une lumière éthérée de toute beauté.

    En attendant que ces petites merveilles soient exposées dans les boutiques Swarovski à travers le monde, une chose est sûre le studio TAKT PROJECT n’a très certainement pas fini de faire parler de lui.

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