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    Piece jointe :


    Un nouveau véhicule « zéro émissions » imprimé en 3D à partir de plastique recyclé débarque !

    Chaque année, nos bonnes vieilles voitures à énergies fossiles sont responsables de l’émission de plus de 5 gigatonnes de CO2 au niveau mondial. Aussi, pouvoir se déplacer sans faire grimper notre empreinte carbone est devenu une priorité.

    Évidemment, des solutions existent déjà : la marche à pied, le vélo, le roller pour les plus téméraires, et j’en passe. Enfin, pour ceux qui redoutent les crampes aux mollets, les véhicules électriques semblent être une alternative toute indiquée.

    Depuis quelques années déjà, ces moyens de locomotions « zéro émissions » fleurissent : voitures, trottinettes, gyropodes, etc. Et c’est loin d’être fini !

    En effet, les autrichiens du studio EOOS, viennent de mettre au point un tricycle utilitaire qui risque de changer la donne…

    Un tricycle électrique en plastique recyclé plus green que green.

    Présenté en 2021 lors de la « biennale for change » de Vienne, le ZUV, pour « zero-emissions utility vehicle », est un véhicule motorisé bien décidé à changer la face du déplacement urbain.

    Imaginé à la fois pour le transport individuel et comme utilitaire d’appoint, ce tricycle électrique rempli toutes les cases de l’éco responsabilité.

    Tout d’abord, de par sa conception. En effet, le ZUV est avant tout pensé pour pouvoir être produit localement. Actuellement, la majorité des composants des véhicules « green » du marché sont fabriqués en Asie. Pas top pour l’empreinte carbone. Ici, le châssis du tricycle est imprimé en 3D, ce qui rendrait sa production possible au sein de FabLab locaux. Il ne resterait plus qu’à y ajouter les aspects cycle et moteur, ce qui est à la portée de tout atelier vélo.

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    Le ZUV en image. Crédit photo : EOOS

    Pour ce qui est de la matière première, le plastique, ce dernier provient d’emballages recyclés collectés auprès des supermarchés. Une bonne mise en pratique de l’économie circulaire !

    Enfin, la bête noire de tout véhicule électrique, la batterie. Cette dernière ne fait que 8 kilos, bien loin de 600 kilos que peuvent atteindre celles des voitures électriques. L’air de rien, cela rend sa fabrication nettement moins polluante.

    Ajouter à cela que le ZUV est facilement réparable et que sa structure est 100% recyclable, et vous vous retrouvez avec un nouveau moyen de transport résolument innovant.

    Quel avenir pour le ZUV ?

    Avant tout destiné à une utilisation urbaine, le ZUV pourrait rapidement se faire une place dans nos villes, là où la pollution liée aux véhicules individuels est la plus forte.

    zuv
    Le nouvel allié des livreurs. Crédit photo : EOOS

    Petit, mais costaud, le ZUV peut transporter deux adultes sans aucune difficulté. Sans compter que son coffre devrait séduire toute entreprise spécialisée dans les petites livraisons : coursiers, restauration rapide, e-commerçants, supermarchés …

    Espérons que ce concept vertueux saura trouver son public et que nous verrons bientôt le ZUV sur nos routes.

    Krill Design se lance dans l’impression 3D d’objets déco à partir de déchets

    Décidément, le bioplastique à la côte. Il y a quelques mois, nous vous parlions de « Feel The Peel » un distributeur de jus de fruit capable d’imprimer des gobelets à partir d’écorce d’oranges. Aujourd’hui, nous vous présentons Krill Design, un studio Italien qui se spécialise dans l’impression 3D à partir de déchets alimentaires.

    Réduisons vite nos déchets, ça déborde !

    En 2019, 931 millions de tonnes de déchets alimentaires ont été produits à l’échelle mondiale. Principalement issus du gaspillage alimentaire, ces déchets, lorsqu’ils ont été triés correctement, peuvent néanmoins être valorisés sous forme d’engrais ou bien encore d’énergie (biogaz, électricité).

    Cependant, le recyclage est loin de s’être démocratisé et encore aujourd’hui la majorité des déchets alimentaires sont tout simplement incinérés ou enfouis, des procédés particulièrement polluants.

    Aussi, à défaut d’éradiquer le gaspillage, est-il nécessaire de trouver de nouvelles façons d’utiliser ces déchets afin d’en réduire leur impact écologique.

    Depuis plusieurs années, les chercheurs se sont penchés sur une solution innovante : le bioplastique. Réalisés à partir de produits organiques, ces plastiques « green » tendent à remplacer les plastiques issus de l’industrie pétrochimique.

    Reste maintenant à exploiter correctement ces ressources afin d’éviter la surproduction …

    « From trash to treasure » un nouveau pas vers l’économie circulaire

    L’impression 3D à la demande est une formidable alternative à la surproduction. Rapide, peu chère, cette technologie permet de réduire drastiquement son empreinte carbone. D’une part, elle offre la possibilité de produire localement, diminuant ainsi le transport, d’autre part elle évite le stockage, sauvegardant ainsi nos espaces verts (il faut bien les mettre quelques part ces centres logistiques …).

    Sans compter que la fabrication additive offre la possibilité de réaliser des réparations par impression 3D, ce qui, encore une fois, permet de limiter le stockage de pièces détachées et de lutter contre l’obsolescence programmée (nous vous invitons à lire cet article sur la société Click’n 3D qui propose ce service).

    Partant de ce constat, le studio Krill Design s’est lancé dans l’impression à la demande d’objets de décoration : vases, horloges, vaisselles et même des lampes. Entre leurs mains nos déchets deviennent des trésors.

    En termes de matières premières, Krill Design ne se fixe aucune limite. Un concept qui a d’ores et déjà séduits les institutions et les marques avec lesquelles le studio a collaboré sur ses premiers projets.

    krill design
    Extrait de la collection Co.ffee Era : Pot à crayons – Horloge – Vase. Crédits : Krill Design

    Ainsi, la municipalité de Milan a fait appel à leur savoir-faire pour concevoir une ligne de produits à partir du marc de café collecté auprès des bars et restaurants de la ville. Baptisé Co.ffee Era, ce projet a donné naissance à une série d’objets aux designs insolites, disponibles sur la boutique en ligne du même nom.

    Soucieux de ré exploiter les restes d’oranges générés par la production de ses boissons gazeuses aromatisées, San Pellegrino leur a rapidement emboité le pas pour co-brander la collection Sicily’s (R)evolution. L’ensemble de ces produits sont donc imprimés à la demande à partir des biopolymères biodégradables et composables élaborés par Krill Design.

    Krill Design
    Extrait de la collection Sicily’s (R) evolution : Plateau – Lampe de table – Glacière. Crédits : Krill Design

    Une idée lumineuse à laquelle vous pouvez adhérer

    Pour son dernier projet, « Ohmie », Krill Design a décidé de faire appel à nous consommateurs en lançant une campagne de financement participatif sur Kickstarter.

    Krill Design
    La lampe Ohmie imprimée en 3D à partir de bioplastique d’orange. Crédits : Krill Design

    Une contribution de 72€ vous permettra de faire l’acquisition d’une élégante lampe de chevet imprimée en 3D à partir de plastique d’orange dont elle reprend la forme et la couleur.

    La campagne a d’ores et déjà atteint ses objectifs, mais dépêchez-vous car elle se termine le 5 août 2021.

    Et si après le télétravail on se mettait à bosser dans des igloos imprimés en 3D ?

    69 101 heures. C’est en moyenne le temps que l’on passe au travail durant sa vie. Alors autant dire que notre bureau, c’est un peu notre deuxième maison. Et quitte à y passer du temps, autant que ce soit dans de bonnes conditions.

    Depuis plusieurs années les entreprises cherchent à réinventer l’espace de travail. Sous l’impulsion des Start-up et de leurs bureaux épanouissants, nombreuses sont les sociétés à abandonner les cublicles anxiogènes et les plateaux d’open spaces assourdissants.

    Les bureaux se transforment peu à peu en lieux de vie, avec des espaces évolutifs et autres flex-offices. Dans le même temps, la crise COVID a donné un sacré coup d’accélérateur au télétravail. Aussi, le workplace management forme un véritable défi en termes de bien-être au travail.

    Les hollandais de ROYAL3D nous apportent peut-être une première piste de réponse…

    Personnalisé, modulable et écoresponsable, R-IGLO révolutionne notre vision du bureau

    Fruit de la collaboration entre le Port de Rotterdam, Architech Company et Royal3D, R-IGLO nous offre une nouvelle approche de l’espace de travail.

    R-IGLO
    Le R-IGLO en image. Crédit : Royal3D B.V.

    Imprimé en 3D à partir de plastique recyclé, le R-IGLO est une structure autoportante modulable et personnalisable. Avant tout pensé comme un espace de travail, son design a été optimisé pour offrir une acoustique parfaite et dispose d’un éclairage LED ainsi que d’un système de ventilation et de chauffage.

    Concrètement, ce module autonome peut être installé un peu partout, en intérieur comme en extérieur et s’adapte à son environnement tant en terme de taille que de couleur.

    Aussi, on peut très bien imaginer multiplier ces « bulles de travail » sur de grands plateaux ou bien encore les exploiter comme espaces d’exposition au sein de salons et de foires.

    Coté réalisation, le R-IGLO ne prend qu’une quinzaine de jours à être produit via une imprimante 3D XXL et s’assemble sur site en seulement 2 jours. Et quand on en a plus besoin ? Et bien on le recycle !

    C’est aussi ça la promesse du R de R-IGLOO : réutilisable, recyclé, Rotterdam et Royal3D, of course.

    R-IGLO
    L’imprimante 3D XXL permettant d’imprimer le R-IGLO. Crédit : Royal3D B.V.

    Une belle initiative qui s’inscrit parfaitement dans la mouvance actuelle de l’économie circulaire, de la production locale et d’une démarche RSE sincère.

    Le plus grand pont imprimé en 3D sera construit à Aubervilliers pour les JO de 2024

    Les Jeux Olympiques sont toujours l’occasion pour une ville de mettre en place bon nombre de projets d’urbanisme. Aussi, depuis quelques années déjà, les chantiers vont bon train à Paris qui se prépare à accueillir les Jeux d’été de 2024. Nouvelles infrastructures sportives, stations de métro, village Olympique… Parmi ces projets plus innovants les uns que les autres, un pont a tout particulièrement retenu notre attention.

    Un pont de 40 mètres imprimé en 3D béton

    L’impression 3D béton a définitivement le vent en poupe. Les bâtiments imprimés en 3D poussent comme des champignons aux quatre coins du globe et certaines villes comme Dubaï en ont même fait leur priorité (en effet, la ville souhaite imprimer 25% de ses bâtiments d’ici 2030). Rapide, économique, écologique et fiable, cette technologie a de quoi séduire.

    Mais jusqu’à aujourd’hui, Paris faisait office de mauvaise élève. Alors quitte à entrer dans la course, autant le faire avec panache. C’est ainsi que l’Établissement Public Territorial Plaine Commune Grand Paris vient d’annoncer la construction d’une passerelle piétonne de 40 mètres en plein cœur du futur village Olympique.

    pont imprimé en 3D

    Bien qu’il ne s’agisse pas du premier pont imprimé en 3D (Amsterdam avait ouvert la danse il y a quelques années avec un pont imprimé en 3D métal), le projet parisien sera le premier dont la structure porteuse sera entièrement réalisée en béton imprimé 3D structurel.

    La conception et la réalisation de cette passerelle a été confiée au consortium dirigé par Freyssinet (expert en génie civil) en association avec Lavigne & Cheron Architectes, Quadric (spécialiste en en ouvrages d’art), LafargeHolcim (leader mondial des matériaux de construction) et XtreeE.

    Ce dernier est loin d’en être à son coup d’essai en termes d’impression 3D béton…

    XtreeE : la start-up française spécialiste de l’impression 3D béton

    Créée en 2015, XtreeE s’est spécialisé dans l’impression 3D grande échelle, et plus particulièrement l’impression béton. Après une première usine installée à Rungis, la start-up a récemment ouvert une nouvelle unité de production à Dubaï. L’objectif de la jeune pousse : libérer la créativité des architectes et réduire l’impact environnemental des constructions.

    En effet, l’impression 3D permet de réduire de près de 60% la consommation de béton tout en offrant de nouvelles possibilités en terme de structures.

    Viliaprint
    Exemple de logement social du programme Viliaprint à Reims – Crédit : XtreeE

    Cette année, au-delà du projet d’Aubervilliers, XtreeE est en train de finaliser un projet de logements sociaux à Reims dont nous ne manquerons pas de vous parler dans un prochain article …

    Habitas : la première chaine d’hôtels de luxe imprimés en 3D

    Avec le confinement et cet été si particulier, nos rêves d’évasions exotiques sont un peu partis en fumée. Nous avons évidemment pu nous rabattre sur les magnifiques destinations que peut nous offrir notre bon vieil hexagone (pour ceux qui ont pu partir en vacances), mais surtout faire du lèche vitrine virtuel pour nos futurs séjours à l’étranger.

    Et justement, pour le plaisir des yeux, nous vous proposons de découvrir « Habitas », une nouvelle chaine de resorts hauts de gamme écoresponsables et imprimés en 3D.

    Des destinations pour les Millenials adeptes de tourisme vert

    Créé en 2014 par Oliver Ripley, Eduardo Castillo, et Kfir Levy, Habitas souhaite devenir le « Club Med des Millenials ». Pour ses fondateurs, cette génération ne souhaite plus passer ses vacances dans de « simples » hôtels luxueux, mais est au contraire à la recherche d’expériences et de sens.

    Habitas Tulum

    Aussi, afin de répondre aux attentes de cette clientèle exigeante, Habitas a développé un concept à mi-chemin entre l’auberge de jeunesse et l’hôtel 5 étoiles. Rencontres, musique, bien-être et découvertes culinaires, cette chaine veut recréer une ambiance de festivals type Coachella tout au long de l’année dans des décors paradisiaques. Rien d’étonnant pour une entreprise qui, à sa création, se destinait à l’évènementiel.

    Habitas souhaite également s’investir dans une démarche écoresponsable en garantissant des hôtels respectueux de l’environnement et zéro plastique.

    Habitas Tulum

    Des hôtels qui s’assemblent comme des Legos

    Afin de réduire son impact environnemental Habitas a opté pour l’impression 3D. En utilisant des modules assemblables sur site, l’entreprise n’a pas besoin de couler de dalle béton, ni de réaliser de gros œuvre qui viendrait dénaturer le terrain.

    Habitas Afrique du Sud

    Les plaques constituants la structure des modules sont imprimées en 3D au Mexique, puis transportées à plat dans des containers jusqu’à destination. Il ne reste ensuite plus qu’à assembler les différents éléments, comme des Legos, et de les habiller de matériaux sourcés localement. Avec la fabrication additive, il ne faut plus que 6 à 9 mois pour construire un nouvel établissement, contre 4 à 5 ans traditionnellement.

    De toute évidence Habitas a trouvé la formule magique et d’excellents investisseurs. En effet, grâce au soutien financier des fondateurs d’Uber et de Tinder, les resorts Habitas poussent comme des champignons aux quatre coins du globe.

    Habitas Afrique du Sud

    Après l’ouverture d’un premier hôtel à Tulum (Mexique) en 2017 suivi d’un second en Afrique du Sud, cette année ce n’est pas moins de 5 autres adresses (Costa Rica, Bhutan, Arabie Saoudite et Mexique) qui devraient voir le jour.

    Pour y séjourner il faudra cependant débourser entre 150 et 300 euros la nuit, un rêve qui est loin d’être à la portée du premier Millenial venu.

    L’impression 3D s’invite chez NIVEA

    De plus en plus de marques cherchent à adopter une démarche plus écoresponsable. L’ennemi numéro 1 dans leurs viseurs est bien évidemment le plastique. Emballage, suremballage, à une époque où nos océans débordent de déchets, il est temps de trouver des solutions plus viables.

    Aussi, NIVEA a décidé de se lancer dans les flacons réutilisables et est actuellement en train de tester des bornes de recharges de gel douche en Allemagne.

    Réduisons nos déchets… ça déborde !

    Crédit photo : beiersdorf

    Depuis quelques temps déjà, le concept du « sans emballage » tend à se développer : magasins en vrac, sacs réutilisables… Les enseignes zéro-déchets font désormais partie de notre quotidien.

    Cependant, un domaine fait encore de la résistance, celui des produits d’hygiène et d’entretien. Certes, certaines marques proposent désormais des recharges en berlingots souples pour re-remplir des bouteilles en plastique rigide, pour les lessives notamment, mais cela continue de produire des déchets. D’autant plus que ces emballages ne peuvent pas être recyclés sans avoir été lavés au préalable.

    Outre Rhin, NIVEA (groupe Beiersdorf) a décidé de prendre les choses en main.

    Pendant plusieurs mois, l’équipe de R&D du géant allemand s’est penchée sur la question du zéro-emballage. Dans un premier temps, elle a dû déterminer le type de produit qui pourrait se prêter à l’expérience. En effet, toutes les formulations ne peuvent résister à ce type de concept. Ils ont donc opté pour le gel douche.

    Dans un second temps, les ingénieurs maisons ont dû développer un distributeur en gardant à l’esprit la problématique de l’hygiène. En effet, c’est bien beau de pouvoir recharger sa bouteille de gel douche dans son supermarché, encore faut-il être certains que le produit ne soit pas contaminé ou que ses propriétés se détériorent.

    Un distributeur de gel douche NIVEA imprimé en 3D

    Pour gagner en efficacité et en réactivité dans la production de leur prototype, l’équipe de R&D de NIVEA a utilisé leur imprimante 3D pour mettre au point ce distributeur. Empreinte carbone limité, peu, voir pas, de déchets, leurs ambitions écoresponsables devaient s’appliquer à l’ensemble de la chaine de production.

    Aujourd’hui, le concept est testé dans plusieurs magasins d’Hamburg et d’Ettlingen. Le process n’est en rien contraignant pour le consommateur. Il lui suffit d’utiliser un des flacons réutilisables à sa disposition et de sélectionner son type de gel douche. Enfin, il ne lui reste plus qu’à coller le code barre imprimé par la machine et de passer en caisse.

    Le flacon peut être réutilisé jusqu’à 3 fois et NIVEA se charge de collecter les emballages usagés pour assurer leur recyclage.

    On espère bien voir cette initiative arriver chez nous prochainement. Mais en attendant, vous pouvez toujours utiliser un bon vieux pain de savon, une alternative nettement plus écologique que le gel douche.

    [COMMUNIQUÉ] Click’n 3D rejoint l’équipe de Click’n 3D !

    Depuis 2016 l’équipe de Click’n 3D partage avec vous l’actualité de l’impression 3D sous un angle différent, on l’espère, de la majorité des sites dédiés à ce sujet.

    Nous avons toujours eu à cœur de vous montrer comment l’impression 3D va changer notre quotidien sans pour autant aborder les détails plus techniques et ce afin de rendre notre contenu accessible à tous.

    Pour effectuer ce travail de vulgarisation, nous avons souvent fait appel au savoir-faire de Click’n 3D, une entreprise de services spécialisée dans l’impression et la modélisation 3D.

    Aujourd’hui, afin de vous offrir des articles toujours plus qualitatifs, nous avons la joie de vous annoncer que l’équipe de Lifestyl3D rejoint celle de Click’n 3D de façon officielle.

    Désormais, nous travaillerons ensemble afin de développer cet outil de veille et c’est pourquoi nous nous appellerons désormais Click’n 3D – Le mag de Click’n 3D.

    Rassurez-vous fidèles lecteurs, à part le nom et le look du site, rien ne change : ni notre ton, ni notre indépendance. Ce rapprochement va nous permettre de continuer notre activité sans avoir à faire recours à la publicité et aux articles sponsorisés, et ainsi conserver notre liberté éditoriale.

    En intégrant Click’n 3D à ses équipes, Click’n 3D a pour objectif d’offrir un service supplémentaire à ses clients en leur proposant un outil de veille en adéquation avec la philosophie de leur entreprise. A savoir, mettre l’impression 3D au service du plus grand nombre.

    On vous retrouve donc bientôt avec de nouveaux articles et n’oubliez pas de nous suivre sur Facebook.

    A bientôt

    L’équipe de Click’n 3D – Le mag de Click’n 3D

    Michelin nous présente Uptis, le pneu increvable imprimé en 3D

    Tout allait bien, vous étiez au volant de votre fidèle automobile, en route pour le mariage de votre cousin Claude et là, à plusieurs kilomètres de votre destination : la crevaison.

    Vous tentez tant bien que mal de monter votre roue de secours, sans succès. L’arrivée de la dépanneuse se fait longue et vous voilà en retard pour le plus beau jour de la vie de votre cousin. S’en suit des décennies de rancœur familiale et de repas dominicaux pleins de regards en coin.

    Si seulement vous aviez eu des pneus increvables …

    Et bien préparez-vous, car Michelin compte lancer d’ici 2024 des pneus sans air résistants à toutes épreuves, que s’appelerio Uptis (pour Unique Puncture-proof Tire System dans la langue de Shakespeare).

    Michelin X General Motors : 2 grands fans de fabrication additive

    uptis

    Pour mettre au point ces pneus révolutionnaires, le français Michelin a fait équipe avec l’américain General Motors. Les deux s’étant déjà essayés à l’impression 3D, il était évident que cette technologie serait à même de coller à leurs exigences.

    Aucun secret de fabrication n’aura été révélé par les deux géants, mais l’on sait déjà que ces pneus ont 3 objectifs :

    • Le premier : offrir une alternative plus green aux pneumatiques traditionnelles, avec une fabrication zéro-déchet, l’utilisation de matériaux composites et une durabilité accrue.
    • Le second : améliorer la sécurité des automobilistes en leur proposant des pneus encore plus fiables.
    • Le troisième : permettre aux transporteurs d’améliorer leur productivité en réduisant les frais de maintenance.

    Uptis est actuellement testé sur des Chevrolet Bolt EV qui parcourent les routes du Michigan. Un choix loin d’être innocent lorsque l’on sait que cet état est connu pour son grand nombre de nids de poules et son climat un poil extrême.

    De son côté, Claude compte bien enterrer la hache de guerre en vous offrant 4 Uptis pour votre anniversaire 2024. Tout est bien qui finit bien…

    Écoresponsables et design : les surfs imprimés en 3D débarquent sur nos plages !

    Bon nombre de surfeurs sont de fervents défenseurs de la nature. Aux premières loges pour constater la pollution de nos océans, ils participent cependant, sans vraiment le savoir, à cette dégradation environnementale.

    En effet, la majorité des planches de surfs sont fabriquées à partir de matériaux issus de la très polluante industrie pétrochimique. De plus, le transport de ces planches du fabricant au consommateur a de quoi affoler les compteurs de CO2.

    Conscient de ce paradoxe, Léo Bouffier et Sylvain Fleury, deux ingénieurs parisiens passionnés de surf, ont fondés la start-up Hexa surfboard afin d’offrir une alternative écoresponsable aux passionnés de glisse.

    La solution de Hexa surfboard : des planches de surf 3D printed

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    Léo Bouffier et Sylvain Fleury et leurs planches Crédit : Facebook Hexa surfboard

    Véritable modèle d’économie circulaire, Hexa surfboard utilise la fabrication additive pour produire des surfs à partir de plastique recyclé. Actuellement, l’entreprise fait appel à des sociétés tierces pour lui fournir les bobines de fil nécessaires à l’impression 3D. Cependant, nos deux compères planchent déjà sur des partenariats avec des associations pour récolter du plastique dans les océans afin de mettre en place une filière de recyclage et ainsi produire leur propre fil.

    Cerise sur le gâteau, leurs planches sont recyclables. Aussi, Hexa surfboard compte proposer un système de consigne permettant aux clients de ramener leur matériel usagé et en assurer ainsi le recyclage. Un excellent moyen d’atteindre l’objectif Zéro Déchet de la marque !

    Quitte à fabriquer à la demande, autant proposer du sur-mesure …

    hexa surfboard
    Crédit : Hexa surfboard

    Pour limiter au maximum leur empreinte carbone, les planches de Hexa surfboard seront produites à proximité des spots de surf, en Bretagne et dans le Sud-Ouest, dans des micro-usines. Cette proximité va également offrir au consommateur la possibilité de personnaliser sa planche. Afin de proposer un produit toujours plus design et performant, les deux ingénieurs travaillent actuellement sur un algorithme où le surfeur pourra indiquer sa morphologie, le type de vagues surfées etc. et ainsi obtenir une planche sur-mesure.

    Avec une fourchette de prix comprise entre 700€ et 1000€ les planches de Hexa surfboard sont proposées en précommande sur le site internet de la marque. Livraison prévue en novembre 2019.